samedi 22:03
International
sursa foto: Natacha Pisarenko / AP / Profimedia
Rodrigo Paz, le président de centre-droit de la Bolivie, a prêté serment samedi, marquant un changement significatif après 20 ans de gouvernement socialiste. Dans son discours, il a promis que la Bolivie ne sera plus "jamais isolée" et qu'elle rétablira les relations internationales, en particulier avec les États-Unis, après une période de tensions sous la direction de l'ancien président Evo Morales. À la cérémonie, des dirigeants de différents pays étaient présents, y compris les présidents du Chili, de l'Argentine et de l'Uruguay.
Rodrigo Paz, élu en octobre au nom du Parti Démocrate-Chrétien, prend la tête d'un pays touché par une grave crise économique, caractérisée par une pénurie de dollars et de carburants. Il a promis de réduire les subventions pour les carburants de 50 % et de mettre en œuvre un programme de "capitalisme pour tous", qui visera à simplifier l'administration et à réduire les impôts, dans le but de revitaliser l'économie bolivienne. L'inflation a atteint 19 % en octobre, après un pic de 25 % en juillet, ce qui souligne les défis auxquels son nouveau gouvernement est confronté.
Rodrigo Paz, élu en octobre au nom du Parti Démocrate-Chrétien, prend la tête d'un pays touché par une grave crise économique, caractérisée par une pénurie de dollars et de carburants. Il a promis de réduire les subventions pour les carburants de 50 % et de mettre en œuvre un programme de "capitalisme pour tous", qui visera à simplifier l'administration et à réduire les impôts, dans le but de revitaliser l'économie bolivienne. L'inflation a atteint 19 % en octobre, après un pic de 25 % en juillet, ce qui souligne les défis auxquels son nouveau gouvernement est confronté.