dimanche 08:20
Cuba, le Chili, le Mexique et le Venezuela ont condamné le bombardement de l'Iran par les États-Unis, soulignant les violations du droit international et appelant au dialogue.
Raluca Ioana Draghici

International
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À la suite des frappes aériennes américaines sur les sites nucléaires iraniens, les dirigeants de Cuba, du Chili, du Mexique et du Venezuela ont réagi avec véhémence. Le président cubain Miguel Diaz-Canel a dénoncé les bombardements comme une "escalade dangereuse" et une violation de la charte des Nations unies. Gabriel Boric, le président chilien, a qualifié l'action d'illégale, affirmant que la puissance ne justifie pas la violation des règles internationales. Le Mexique a souligné l'importance du dialogue pour désamorcer les tensions, tandis que le Venezuela a fermement condamné l'attaque, appelant à une cessation immédiate des hostilités.