
L'affaire, surnommée "le divorce du siècle", a attiré l'attention nationale, mettant en évidence le lien entre le pouvoir économique et la justice sud-coréenne. Le tribunal a identifié une "erreur de calcul" dans l'évaluation des biens communs et a ordonné la réévaluation de l'affaire, qui a commencé en 2015 après que Chey a reconnu un enfant d'une relation extraconjugale. La décision initiale de 2024 incluait un fonds secret de 30 milliards de wons, mais la Cour suprême a statué qu'il ne peut pas être considéré comme faisant partie des biens communs, étant associé à un pot-de-vin obtenu illégalement. Bien que Chey ait été exonéré du paiement de cette somme énorme, il devra verser une pension alimentaire de 2 milliards de wons.
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