3 novembre 17:13
Actualité
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Le ministère de la Digitalisation a averti la Chambre des Députés que l'adoption des lois concernant la majorité numérique et la protection des mineurs face au contenu nocif pourrait entraîner l'ouverture d'une procédure d'infraction de la part de la Commission Européenne. Le projet PL-x n° 385/2025 impose des obligations supplémentaires pour les plateformes en ligne, telles que la mise en place d'un mécanisme de vérification de l'âge des utilisateurs, et définit le contenu nocif en termes stricts, incluant la violence, la pornographie et les comportements illégaux. Les plateformes qui ne respectent pas ces réglementations risquent des amendes allant de 0,5 % à 3 % de leur chiffre d'affaires annuel global.
De plus, le projet PL-x n° 356/2025, qui réglemente l'accès des mineurs aux services en ligne avec accord parental, a été critiqué car il introduit des obligations supplémentaires pour les fournisseurs de services intermédiaires. Le ministère souligne que ces lois doivent être notifiées conformément à la Directive (UE) 2015/1535, et leur adoption sans respect de la procédure de notification les rendrait inapplicables et pourrait entraîner des sanctions de la part de l'Union Européenne. Des critiques ont également été émises par des organisations telles qu'APTI et Google Roumanie, qui soulignent que les réglementations pourraient imposer une identification en ligne excessive pour les utilisateurs.
De plus, le projet PL-x n° 356/2025, qui réglemente l'accès des mineurs aux services en ligne avec accord parental, a été critiqué car il introduit des obligations supplémentaires pour les fournisseurs de services intermédiaires. Le ministère souligne que ces lois doivent être notifiées conformément à la Directive (UE) 2015/1535, et leur adoption sans respect de la procédure de notification les rendrait inapplicables et pourrait entraîner des sanctions de la part de l'Union Européenne. Des critiques ont également été émises par des organisations telles qu'APTI et Google Roumanie, qui soulignent que les réglementations pourraient imposer une identification en ligne excessive pour les utilisateurs.