BAROMÈTRE Informat.ro – INSCOP Research “La Roumanie entre Magie et Ésotérisme” a été réalisé par INSCOP Research à la demande de la plateforme d'actualités Informat.ro en partenariat avec le think-tank Strategic Thinking Group.
Méthodologie : Les données ont été collectées entre le 6 et le 10 octobre 2025. Méthode de recherche : entretien par questionnaire. Les données ont été collectées par la méthode CATI (entretiens téléphoniques), le volume de l'échantillon simple, stratifié étant de 1100 personnes, représentatif des catégories socio-démographiques significatives (sexe, âge, profession) pour la population non institutionnalisée de Roumanie, âgée de 18 ans et plus. L'erreur maximale admise des données est de ± 2,95 %, avec un degré de confiance de 95 %.
La présentation graphique des données est disponible ici : BAROMÈTRE Informat.ro – INSCOP Research – “La Roumanie entre Magie et Ésotérisme”
Vous pouvez trouver l'intégralité de la présentation vidéo en accédant à ce lien.
Véracité des superstitions
D'autre part, 41,6 % des personnes interrogées affirment avoir eu une expérience dans leur vie où elles ont observé qu'une superstition s'est réalisée, tandis que 55,5 % disent le contraire. 2,9 % ne savent pas ou ne répondent pas.
Ils ont eu une expérience dans leur vie où ils ont observé qu'une superstition s'est réalisée surtout : les électeurs du PSD, les jeunes de moins de 30 ans et ceux entre 45 et 59 ans, les personnes ayant une éducation primaire, les habitants de Bucarest. Ils n'ont pas eu une telle expérience en particulier : les électeurs de l'USR, les personnes de plus de 60 ans.

Graphique inscop.ro
Personnes superstitieuses
17,6 % des participants au sondage se considèrent certainement comme des personnes superstitieuses. 12,1 % disent plutôt oui, 20,5 % plutôt non, tandis que 46,5 % affirment certainement ne pas être superstitieuses. La proportion de non-réponses est de 3,3 %.
Se considèrent comme superstitieux surtout : les électeurs du PSD et de l'AUR, les hommes, les personnes ayant une éducation primaire, les habitants des zones rurales et des petites villes. Ne se considèrent pas superstitieux en particulier : les électeurs de l'USR, les femmes, ceux ayant une éducation supérieure.

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Domaine des superstitions
31,1 % des Roumains estiment qu'il est préférable de tenir compte des superstitions en matière de santé, 9,9 % en amour/relations, 9,3 % en carrière/obtention d'un emploi, 8,7 % dans les décisions quotidiennes, pas un domaine particulier, 7,7 % en argent, et 3,9 % lors des examens, entretiens, concours. 6,5 % ne savent pas ou ne répondent pas.

Graphique inscop.ro
Les électeurs du PSD et de l'AUR, les personnes de plus de 45 ans, ceux ayant une éducation primaire et les habitants des zones rurales estiment dans une plus grande proportion que le reste de la population qu'il faut tenir compte des superstitions en matière de santé. Ils estiment qu'il est préférable de tenir compte des superstitions en amour/relations surtout : les électeurs du PNL et du PSD, les jeunes de moins de 30 ans.
Ils croient qu'il est préférable de tenir compte des superstitions en carrière/obtention d'un emploi en particulier : les électeurs du PNL et de l'AUR, les personnes ayant une éducation primaire, les employés de l'État. Les jeunes de moins de 30 ans et les habitants des grandes villes estiment dans une plus grande proportion que le reste de la population qu'il est préférable de tenir compte des superstitions dans les décisions quotidiennes, pas un domaine particulier. En particulier, les électeurs du PSD, les jeunes de moins de 30 ans et les employés de l'État estiment qu'il faut tenir compte des superstitions lorsqu'il s'agit d'argent. Ils croient qu'il est préférable de tenir compte des superstitions lors des examens, entretiens, concours surtout : les personnes ayant une éducation supérieure, les habitants de Bucarest.