La Roumanie a pris l'engagement de réformer les retraites des magistrats par les engagements du PNRR, et le blocage de ce processus par les magistrats génère des pertes de 231 millions d'euros, a déclaré le ministre des Investissements et des Projets Européens, Dragoș Pîslaru. Il a souligné que la Roumanie ne peut plus se permettre de retraites spéciales, appelant à l'équité dans le système public de retraites pour toutes les catégories professionnelles, y compris les magistrats, médecins, enseignants et policiers. Pîslaru a exprimé sa solidarité avec la vice-première ministre Oana Gheorghiu, qui a été critiquée par le Conseil Supérieur de la Magistrature pour ses déclarations concernant les retraites spéciales. Cette réforme est considérée comme cruciale pour la durabilité financière du pays.
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