La plateforme sociale X rejette les allégations de biais algorithmique et d'extraction frauduleuse de données, affirmant qu'elle ne coopérera pas avec les autorités françaises.

Le parquet de Paris a ouvert une enquête criminelle contre la plateforme X, l'accusant de partialité algorithmique et d'exploitation frauduleuse de données. X conteste ces accusations, estimant qu'elles sont motivées par des considérations politiques et que l'enquête pourrait restreindre la liberté d'expression. L'entreprise refuse de coopérer avec les autorités et accuse l'enquête d'avoir été initiée par un député français avec un agenda politique. X critique également le fait qu'elle fasse l'objet d'une enquête sur des accusations de crime organisé, ce qui autorise des mesures intrusives.