Le Premier ministre géorgien, Irakli Kobahidze, est ouvert à un compromis avec ses partenaires occidentaux sur la loi controversée relative à la "transparence de l'influence étrangère".

Irakli Kobahidze a déclaré que le gouvernement géorgien était ouvert aux pourparlers et qu'il pourrait trouver un compromis par le biais de la procédure de veto présidentiel. Les avertissements des partenaires occidentaux se sont multipliés, notamment de la part des États-Unis, qui ont déclaré que la Géorgie était confrontée à un recul démocratique et qu'elle devait choisir entre ses aspirations euro-atlantiques et l'adoption d'une loi sur les agents étrangers "à la manière du Kremlin".