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International
Foto: Pixabay
Le Parlement portugais a récemment adopté des modifications significatives à la Loi sur la Nationalité, rendant plus difficile le processus d'obtention de la citoyenneté et du passeport portugais. Le projet de loi, soutenu par la coalition de centre-droit PSD et CDS-PP, ainsi que par l'extrême droite Chega, a été approuvé par 157 voix pour, tandis que la gauche a voté contre. Parmi les modifications apportées, on trouve l'élimination de l'octroi automatique de la citoyenneté pour les enfants de migrants nés au Portugal, qui doivent désormais exprimer clairement leur désir de devenir citoyens, et au moins l'un des parents doit avoir résidé légalement dans le pays pendant cinq ans.
De plus, les immigrants des pays où le portugais est la langue officielle ou de l'Union européenne doivent résider légalement au Portugal pendant sept ans pour obtenir la citoyenneté, tandis que ceux des pays tiers doivent attendre dix ans. Le projet supprime également le régime spécial d'octroi de la citoyenneté aux Juifs séfarades. Par ailleurs, un autre projet a été approuvé, permettant la révocation de la nationalité en cas de crimes graves. Ces initiatives reflètent une tendance plus stricte dans les politiques d'immigration du gouvernement portugais, déjà mise en évidence par les modifications antérieures à la Loi sur les étrangers. Ces mesures seront désormais présentées au président Marcelo Rebelo de Sousa pour approbation.
De plus, les immigrants des pays où le portugais est la langue officielle ou de l'Union européenne doivent résider légalement au Portugal pendant sept ans pour obtenir la citoyenneté, tandis que ceux des pays tiers doivent attendre dix ans. Le projet supprime également le régime spécial d'octroi de la citoyenneté aux Juifs séfarades. Par ailleurs, un autre projet a été approuvé, permettant la révocation de la nationalité en cas de crimes graves. Ces initiatives reflètent une tendance plus stricte dans les politiques d'immigration du gouvernement portugais, déjà mise en évidence par les modifications antérieures à la Loi sur les étrangers. Ces mesures seront désormais présentées au président Marcelo Rebelo de Sousa pour approbation.