Le Japon a mis en place une institution chargée de répondre aux préoccupations des citoyens concernant les étrangers, dont le nombre atteint 3 % de la population.

La nouvelle institution, appelée "tour de guet", s'occupera des problèmes que les citoyens japonais rencontrent avec les étrangers, tels que la criminalité et le tourisme excessif. L'augmentation du nombre de résidents étrangers a suscité l'inquiétude du public et le parti libéral-démocrate a proposé des mesures visant à assurer une coexistence harmonieuse. Le Premier ministre Shigeru Ishiba a souligné les inquiétudes suscitées par le mauvais comportement de certains étrangers, reflétant ainsi une tendance politique croissante en faveur du nationalisme.