L'accord commercial entre le Royaume-Uni et les États-Unis, en vigueur depuis le 30 juin, prévoit des tarifs préférentiels pour les voitures britanniques, mais l'incertitude demeure en ce qui concerne les exportations de métaux.

Le récent accord commercial entre le Royaume-Uni et les États-Unis permet aux voitures britanniques de bénéficier d'un tarif préférentiel de 10 % sur les 100 000 premiers véhicules exportés chaque année, contrairement aux tarifs plus élevés appliqués à d'autres partenaires commerciaux. Si l'accord est un soulagement pour l'industrie automobile britannique, l'incertitude demeure quant aux taxes sur l'acier et l'aluminium, des négociations étant en cours pour les ramener à zéro. Le Premier ministre britannique a qualifié l'accord d'"historique", soulignant l'importance de protéger les emplois.