Le candidat USR au poste de maire général de la capitale, Cătălin Drulă, affirme qu'il n'est pas "un fan" de l'organisation administrative actuelle de la municipalité de Bucarest, en montrant que des villes beaucoup plus grandes que la capitale de la Roumanie n'ont pas de secteurs avec autonomie fiscale.
"Si une ville qui est quatre fois plus grande, avec 9 millions d'habitants, je crois, et quatre fois plus grande en superficie, peut être dirigée par un seul maire, je crois que la région Bucarest-Ilfov, j'irais même au-delà des frontières de Bucarest, peut être dirigée de manière unitaire. Maintenant, s'il existe un rôle pour des subdivisions administratives, il existe aussi de tels modèles en Europe, Bruxelles a des communes, Vienne a des sortes de districts, Paris a des arrondissements, c'est une discussion, mais pas autonomes fiscalement. Cela ne peut être que des fonctions locales, zonales de ces leaders locaux, tandis que la ville a un seul leadership car cela assure la cohérence dans le développement des systèmes de transport, de chauffage urbain, de planification sur de vastes zones. Pensez à la Piața Unirii, là se rencontrent quatre secteurs. À quoi pourrait ressembler un projet de régénération urbaine s'il devait être dirigé par un secteur ?", a argumenté Cătălin Drulă lundi soir, sur Digi 24.
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