lundi 21:49
La vice-présidente de la Commission européenne, Henna Virkkunen, envisage de transformer la recommandation de 2020 visant à arrêter l'utilisation de fournisseurs à haut risque dans les réseaux mobiles en une exigence légale obligatoire, dans le contexte des préoccupations liées à la sécurité.
Économie
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Henna Virkkunen, vice-présidente de la Commission européenne, envisage de transformer la recommandation de 2020 d'éviter les fournisseurs à haut risque dans les réseaux mobiles en une exigence légale. Cette proposition obligerait les États membres de l'UE à se conformer aux orientations de la Commission en matière de sécurité, en particulier dans le contexte des risques associés aux fabricants chinois d'équipements de télécommunications, tels que Huawei et ZTE.
La Commission européenne examine des moyens de limiter l'utilisation de ces fournisseurs dans les réseaux de téléphonie fixe, tandis que les pays européens s'empressent de mettre en œuvre des infrastructures de fibre optique. De plus, des mesures sont discutées pour dissuader les pays en dehors de l'UE de collaborer avec des fournisseurs chinois, y compris en restreignant le financement de Global Gateway.
Dans le passé, plusieurs pays européens ont adopté des mesures différentes à l'égard des fournisseurs chinois, ce qui a généré une approche inégale et des risques pour la sécurité. Les opérateurs de télécommunications s'opposent aux restrictions, arguant que la technologie chinoise est plus accessible. Le problème a été amplifié par la pression exercée par les États-Unis, en particulier pendant le mandat de Donald Trump, qui a interdit Huawei.
Récemment, un scandale de corruption a éclaté au Parlement européen, dans lequel des lobbyistes de Huawei sont soupçonnés d'avoir soudoyé des députés, ce qui ajoute une nouvelle dimension aux tensions liées à l'implication des fournisseurs chinois dans l'infrastructure européenne.
La Commission européenne examine des moyens de limiter l'utilisation de ces fournisseurs dans les réseaux de téléphonie fixe, tandis que les pays européens s'empressent de mettre en œuvre des infrastructures de fibre optique. De plus, des mesures sont discutées pour dissuader les pays en dehors de l'UE de collaborer avec des fournisseurs chinois, y compris en restreignant le financement de Global Gateway.
Dans le passé, plusieurs pays européens ont adopté des mesures différentes à l'égard des fournisseurs chinois, ce qui a généré une approche inégale et des risques pour la sécurité. Les opérateurs de télécommunications s'opposent aux restrictions, arguant que la technologie chinoise est plus accessible. Le problème a été amplifié par la pression exercée par les États-Unis, en particulier pendant le mandat de Donald Trump, qui a interdit Huawei.
Récemment, un scandale de corruption a éclaté au Parlement européen, dans lequel des lobbyistes de Huawei sont soupçonnés d'avoir soudoyé des députés, ce qui ajoute une nouvelle dimension aux tensions liées à l'implication des fournisseurs chinois dans l'infrastructure européenne.