
Parmi les produits concernés figurent le pain, le lait, le fromage, l'huile, la viande, les légumes, les fruits, le sucre, les œufs, etc. La décision a été justifiée par le gouvernement sur la base des discussions avec les réseaux commerciaux et les producteurs, de la nécessité d'intervention sur le marché pour protéger le consommateur, mais aussi d'arguments concernant l'augmentation de la production agricole intérieure. Les critiques du secteur commercial se sont montrés réticents face à l'intervention de l'État dans la fixation des prix, attirant l'attention sur les possibles distorsions économiques. Bolojan souligne que les solutions durables pour des prix plus bas résident dans l'augmentation de la production agroalimentaire.
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