
Plus de 50 % des attaques ont été motivées par du chantage ou des ransomwares, et 52 % des incidents avaient des intérêts financiers. Le rapport souligne que les services publics critiques, tels que les hôpitaux et les établissements d'enseignement, sont des cibles principales pour les cybercriminels, compte tenu du volume de données sensibles qu'ils gèrent. De plus, le rapport met en évidence la nécessité de stratégies modernes de cybersécurité, étant donné que les mesures traditionnelles ne sont plus suffisantes. L'utilisation de l'intelligence artificielle par les attaquants a augmenté, facilitant l'expansion des opérations cybernétiques. Dans ce contexte, les dirigeants organisationnels sont encouragés à traiter la cybersécurité comme une priorité stratégique et à investir dans des solutions avancées, telles que l'authentification multifactorielle, pour protéger les données et prévenir les attaques.
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